top of page
TITRE_.jpg
Fred Lagnau - copie.jpeg

Tropique du képone

création 2024

collaboration artistique Myriam Soulanges et Marlène Myrtil 

durée : 50 mn

Une pièce de danse aux manières afrofuturistes. Nous soulignons l’urgence d’agir et la nécessité de sortir des ordres imposés pour répondre à l’état des lieux préoccupant en Guadeloupe et en Martinique, lié à l’utilisation de pesticides dans les bananeraies. Nous nous projetons dans un avenir victorieux afin d’apporter aux luttes du passé et de notre présent, par l’art du détour et de la fugue.

 

vidéo

presse

Photo Fred Lagnau

COVER.jpg
Cover
récit chorégraphique

création 2022

chorégraphiée et interprétée par Myriam Soulanges

​durée : 45 mn

Récit chorégraphique dans lequel des textes, des interviews et des archives radiophoniques viennent construire la chronologie et la dramaturgie du solo, en lien avec les mécanismes d’oppression sur l’identité noire. Cover livre une double histoire, par un dialogue croisé avec mon père, Socrate, guadeloupéen immigré à Paris en 1954.

vidéo

presse

​Photo Éloïse Legay

YUE.jpg
Yué # Sororité
création 2018

collaboration artistique Anne Meyer, Guy Gabon et Myriam Soulanges

projet participatif dans l’espace public

durée : 45 mn

 

Une pièce plastique, chorégraphique et participative qui se construit avec les habitantes. Sur chaque territoire, de nouvelles modalités de sororité s’inventent. Un temps pour chacune, pour libérer la parole, loin de tous jugements. Faire alliance contre les stéréotypes, le sexisme ordinaire et l’invisibilisation des femmes dans l’espace public.

vidéo

​Photo Philippe Virapin

PDP.jpg
Principe de précaution
duo chorégraphique

RE - création 2019

collaboration artistique Marlène Myrtil et Myriam Soulanges

durée 30 mn

Duo chorégraphique où la résistance, la poésie et l’absurde se rencontrent sur un propos toxique. 

« La menace est invisible mais omniprésente : les sols sont contaminés pour des siècles par un pesticide ultra-toxique, le chlordécone… Des générations d’Antillais vont devoir vivre avec cette pollution, dont l’ampleur et la persistance – jusqu’à 700 ans selon les sols – en font un cas unique au monde, et un véritable laboratoire à ciel ouvert…» Faustine Vincent, Le Monde juin 2018.

vidéo

​Photo Fred Lagnau

bottom of page